Le bruit peut avoir divers effets néfastes sur la santé des individus et ce, bien au-delà d’une réduction de la capacité auditive. Il peut ainsi générer du stress, des troubles du sommeil ou un comportement agressif. Si ces incidences sont variables en fonction des prédispositions de chaque individu et du contexte dans lequel il se trouve, un encadrement des nuisances sonores n’en reste pas moins indispensable.
Petite délinquance
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Vol à la tire, perte, vol de son véhicule ou à l’intérieur de celui-ci, les circonstances sont nombreuses mais les réactions restent les mêmes : réagir méthodiquement et rapidement lorsque votre smartphone disparaît de manière inattendue.
Les espaces publics tels que les parcs, aires de jeux ou terrains multisports sont dans certains cas propices au développement de comportements infractionnels (graffiti, mise à feu de poubelles, tapage nocturne,…). Ces derniers, s’ils ne sont pas canalisés, peuvent en outre dégénérer en une criminalité bien plus importante par un effet d’emballement (trafic de drogues, agressions,…).
«Psst Mademoiselle ! Ho réponds salope !». Encore récemment dénoncé dans les médias, le harcèlement de rue, comprenant aussi le harcèlement dans les transports en commun, constitue une infraction pénale. Après le documentaire réalisé en 2012 par l’étudiante Sophie Peeters, victime ayant dénoncé ces faits, la loi a été durcie. Mais est-ce efficace et suffisant ?
Comment éviter les intrusions malveillantes dans son établissement ? Question essentielle pour tout responsable de la sécurité d’une école qui voit chaque jour entrer et sortir des centaines d’élèves, fournisseurs, etc. En effet, les établissements scolaires et extrascolaires (complexes sportifs …) sont souvent caractérisés par un nombre important de locaux, éventuellement répartis en plusieurs bâtiments. Par conséquent, le contrôle des allées et venues peut s’avérer très délicat. Voyons aujourd’hui comment améliorer la sécurité de ces établissements par un contrôle efficace de leurs voies d’accès.
En décrivant la réalité des jeunes des cités, nous avons montré précédemment (voir référence) que le ghetto ne désigne pas un quartier ou une cité mais un ensemble de conduites sociales, évidemment localisées, où la complémentarité de la famille et de la rue, le partage d’une même morale et la personnalisation des jugements sont spécifiques. Ces observations émanent de l’enquête menée durant 5 années par le sociologue Didier Lapeyronnie et publiée en 2009, Ghetto urbain. Ségrégation, violence, pauvreté en France.