De nombreuses applications technologiques s’infiltrent dans notre quotidien, entre autres pour lutter contre les cambriolages. Précédemment, nous avions présenté les opportunités et menaces (facteurs externes) de la domotique inscrite dans le cadre de la prévention des cambriolages. Les forces et faiblesses (facteurs internes) d’un tel dispositif seront parcourues ici.

Les nouvelles technologies consacrées à la lutte contre le cambriolage dans les habitations ont de plus en plus de succès. Mais en quoi consiste la domotique et quelles possibilités offre-elle ?

Plus directement exposés aux agressions et aux cambriolages, les indépendants peuvent réduire les risques en respectant quelques règles simples. Outre les initiatives visant l’équipement et la gestion de l’argent en caisse décrites dans l’article Manipulation d’argent cash en commerce : mesures de prévention utiles, nous analysons brièvement ici d’autres bonnes pratiques possibles.

Lorsque la voiture volée est destinée à la revente, elle ne peut plus être identifiée comme telle que ce soit au niveau de son apparence ou au niveau de son identification administrative.

Parce qu’ils sont amenés à manipuler de l’argent liquide, les indépendants courent un risque évident de vols ou d’agressions. Outre la perte financière, ce phénomène a un impact psychologique et provoque un climat d’insécurité. Observer des mesures de prévention, sensibiliser et encadrer son personnel, limite les risques et instaure un climat de confiance.

Dans un article précédent, nous avons abordé les caractéristiques du trafic de voitures volées et de son marché. Pendant longtemps, on a prêté cette criminalité au crime organisé. Aujourd’hui, la notion générique de «réseau criminel» est préférée en raison de la pluralité d’acteurs en interaction et dispersés tant au niveau géographique qu’au point de vue de leurs fonctions dans le trafic. Qui sont-ils ? Quels sont leurs modes opératoires ? La structure du réseau et son acteur principal seront explicités ici.